et il est malade
Pourquoi tant de haine ? Pourquoi si peu de reconnaissance pour la vie et sa diversité ? Si l’économie n’est pas protectrice, à quoi sert-elle ? Et si nous nous donnions le temps de désirer, de concevoir, de fabriquer, d’acheter, de partager, de consommer, de se souvenir bref d’apprécier chaque escale.
Car si le changement n’est pas rêvé, comment peut-il bourgeonner ?
S’il n’y a pas de chemin pour cette économie régénératrice alors il faut le créer, le défricher, le baliser de mille graines qui une fois germées paveront les sentiers.
La beauté est le ciment de cette organisation humaine libre et éclairée. Et son absence assèche l’espérance. Alors caressons les nuages et faisons-les redescendre pour que nos idéaux soient abreuvés sans modération !